qu'on se surprend à faire fondre
sur la langue, femme caprice, femme surprise . .
.
Pas tout à fait façonnée, mais pas innocente.
* J'ai goûtéla Femme-mère .
Pas tout à fait façonnée, mais pas innocente.
* J'ai goûté
Qui passe la main dans les
cheveux,
qui dit ce qu'il faut
faire et veut plus que ce
qu'on peut ....
Pas toujours sûre, mais
toujours fière.* Mais jamais de Femme-Femme.
Qui vous déchire les entrailles
et met le feu à votre esprit avant qu'elle s'en aille . . .
On
ne fuit pas devant la Femme
que l'on veut.
* On la regarde dans les yeux et voit le fond de son âme.
* On la regarde dans les yeux et voit le fond de son âme.
Ainsi s'attise le démon qui
pousse à l'abandon,
Ne pas jouer, ne pas feindre,
être soi sans jamais se plaindre
quand nos deux corps s'enlacent,
que nos parfums mêlés flottent
dans
l'air d'une pièce plongée dans la pénombre.
Tu murmures à mon oreille le plaisir
que tu attends.
Brûler
sur ta peau, boire ton miel, goûter ta chair,
plonger
dans le délicieux fourreau de l'entre jambes offert,
mordre
ton sexe à pleine bouche . . .
Deux
corps torturés par le plaisir donné et l'ivresse des sens.
On
dit des mots qui volent deux par deux,
bijoux
que ta gorge retient, doux, tendres ou fougueux
et
ceux qui rendent fou . . . comme quand tu cries "Viens".
Pas
de regret, pas de remord,